Malloc Voidstar posted:

yeah but its down from 140MB hours ago

anthonypants posted:

i don't think there's that many people who can write a script that converts a private key into a transaction on the fly

quote:

quote:

quote:

[quote]

Using blockchain.info I now have about 5.06 BTC

Am I able to withdraw this amount? Or what would I go about doing?

Coins will disappear sooner or later. Mines are disappearing

But where this money will gone to block chain ? or some where else

Greyhawk posted:

apparently i can't nest quotes deeper than 3? radiummmmmmm

jony ive aces posted:

no you see this is actually good for sa because why would you want to nest deeper than that wtf is wrong with you

anthonypants posted:

this but unironically

http://www.ibtimes.com/bitcoin-exchange-ceo-mark-karpeles-charged-japan-embezzlement-2092525 posted:

Japanese prosecutors Friday charged Mark Karpeles, head of collapsed Bitcoin exchange MtGox, with embezzlement.

gschmidl posted:

IT'S HAPPENING

unpacked robinhood posted:

shiiiit it means he "confessed" ?

Snapchat A Titty posted:

though a total acquittal would be the only just outcome naturally

Sham bam bamina! posted:

WIll Star Citizen feature Space high fashion? Let's talk future style, ladies! BItcoin was up, so yesterday Seraph took me shopping. We found this adorable dress at Maison Kitsuné.

gschmidl posted:

IT'S HAPPENING

gschmidl posted:

IT'S HAPPENING

Sham bam bamina! posted:

FrozenVent posted:

anyone familiar with the adventures of Arsène Lupin? because that's how I foresee the trial going

poik007 posted:

im going to make a bitcoin exchange in objective-c, you run it on your iphone, if you shut your phone off the bit coins disapear

Sham bam bamina! posted:

dont click

Sham bam bamina! posted:

dont click

Sham bam bamina! posted:

dont click

Heresiarch posted:

ban for anime

Sham bam bamina! posted:

dont click

FrozenVent posted:

anyone familiar with the adventures of Arsène Lupin? because that's how I foresee the trial going

pylb posted:

L’évasion prochaine de Mark Karpelès ne fit plus de doute pour personne. Lui-même d’ailleurs l’annonçait en termes catégoriques. Et comme le juge revenait à son instruction, il s’écria d’un air de lassitude :

— Mon Dieu, mon Dieu, à quoi bon ! toutes ces questions n’ont aucune importance !

— Comment, aucune importance ?

— Mais non, puisque je n’assisterai pas à mon procès.

— Vous n’assisterez pas...

— Non, c’est une idée fixe, une décision irrévocable. Rien ne me fera transiger.

Une telle assurance, les indiscrétions inexplicables qui se commettaient chaque jour, agaçaient et déconcertaient la justice. Il y avait là des secrets que Mark Karpelès était seul à connaître, et dont la divulgation par conséquent ne pouvait provenir que de lui. Mais dans quel but les dévoilait-il ? et comment ?

On changea Mark Karpelès de cellule. Un soir, il descendit à l’étage inférieur. De son côté, le juge boucla son instruction et renvoya l’affaire à la chambre des mises en accusation.

Ce fut le silence. Il dura deux mois. Mark les passa étendu sur son lit, le visage presque toujours tourné contre le mur. Ce changement de cellule semblait l’avoir abattu. Il refusa de recevoir son avocat. À peine échangeait-il quelques mots avec ses gardiens.

La curiosité publique cependant ne s’était pas affaiblie. Chaque jour on avait attendu la nouvelle de son évasion. On la souhaitait presque, tellement le personnage plaisait à la foule avec sa verve, sa gaieté, sa diversité, son génie d’invention et le mystère de sa vie. Mark Karpelès devait s’évader. C’était inévitable, fatal. On s’étonnait même que cela tardât si longtemps. Tous les matins le Préfet de police demandait à son secrétaire :

— Eh bien, il n’est pas encore parti ?

— Non, Monsieur le Préfet.

— Ce sera donc pour demain.

Et, la veille du procès, un monsieur se présenta dans les bureaux du Grand Journal, demanda le collaborateur judiciaire, lui jeta sa carte au visage, et s’éloigna rapidement. Sur la carte, ces mots étaient inscrits : « Mark Karpelès tient toujours ses promesses. »

pylb posted:

Mark Karpelès

pylb posted:

L’évasion prochaine de Mark Karpelès ne fit plus de doute pour personne. Lui-même d’ailleurs l’annonçait en termes catégoriques. Et comme le juge revenait à son instruction, il s’écria d’un air de lassitude :

— Mon Dieu, mon Dieu, à quoi bon ! toutes ces questions n’ont aucune importance !

— Comment, aucune importance ?

— Mais non, puisque je n’assisterai pas à mon procès.

— Vous n’assisterez pas...

— Non, c’est une idée fixe, une décision irrévocable. Rien ne me fera transiger.

Une telle assurance, les indiscrétions inexplicables qui se commettaient chaque jour, agaçaient et déconcertaient la justice. Il y avait là des secrets que Mark Karpelès était seul à connaître, et dont la divulgation par conséquent ne pouvait provenir que de lui. Mais dans quel but les dévoilait-il ? et comment ?

On changea Mark Karpelès de cellule. Un soir, il descendit à l’étage inférieur. De son côté, le juge boucla son instruction et renvoya l’affaire à la chambre des mises en accusation.

Ce fut le silence. Il dura deux mois. Mark les passa étendu sur son lit, le visage presque toujours tourné contre le mur. Ce changement de cellule semblait l’avoir abattu. Il refusa de recevoir son avocat. À peine échangeait-il quelques mots avec ses gardiens.

La curiosité publique cependant ne s’était pas affaiblie. Chaque jour on avait attendu la nouvelle de son évasion. On la souhaitait presque, tellement le personnage plaisait à la foule avec sa verve, sa gaieté, sa diversité, son génie d’invention et le mystère de sa vie. Mark Karpelès devait s’évader. C’était inévitable, fatal. On s’étonnait même que cela tardât si longtemps. Tous les matins le Préfet de police demandait à son secrétaire :

— Eh bien, il n’est pas encore parti ?

— Non, Monsieur le Préfet.

— Ce sera donc pour demain.

Et, la veille du procès, un monsieur se présenta dans les bureaux du Grand Journal, demanda le collaborateur judiciaire, lui jeta sa carte au visage, et s’éloigna rapidement. Sur la carte, ces mots étaient inscrits : « Mark Karpelès tient toujours ses promesses. »

pylb posted:

L’évasion prochaine de Mark Karpelès ne fit plus de doute pour personne. Lui-même d’ailleurs l’annonçait en termes catégoriques. Et comme le juge revenait à son instruction, il s’écria d’un air de lassitude :

— Mon Dieu, mon Dieu, à quoi bon ! toutes ces questions n’ont aucune importance !

— Comment, aucune importance ?

— Mais non, puisque je n’assisterai pas à mon procès.

— Vous n’assisterez pas...

— Non, c’est une idée fixe, une décision irrévocable. Rien ne me fera transiger.

Une telle assurance, les indiscrétions inexplicables qui se commettaient chaque jour, agaçaient et déconcertaient la justice. Il y avait là des secrets que Mark Karpelès était seul à connaître, et dont la divulgation par conséquent ne pouvait provenir que de lui. Mais dans quel but les dévoilait-il ? et comment ?

On changea Mark Karpelès de cellule. Un soir, il descendit à l’étage inférieur. De son côté, le juge boucla son instruction et renvoya l’affaire à la chambre des mises en accusation.

Ce fut le silence. Il dura deux mois. Mark les passa étendu sur son lit, le visage presque toujours tourné contre le mur. Ce changement de cellule semblait l’avoir abattu. Il refusa de recevoir son avocat. À peine échangeait-il quelques mots avec ses gardiens.

La curiosité publique cependant ne s’était pas affaiblie. Chaque jour on avait attendu la nouvelle de son évasion. On la souhaitait presque, tellement le personnage plaisait à la foule avec sa verve, sa gaieté, sa diversité, son génie d’invention et le mystère de sa vie. Mark Karpelès devait s’évader. C’était inévitable, fatal. On s’étonnait même que cela tardât si longtemps. Tous les matins le Préfet de police demandait à son secrétaire :

— Eh bien, il n’est pas encore parti ?

— Non, Monsieur le Préfet.

— Ce sera donc pour demain.

Et, la veille du procès, un monsieur se présenta dans les bureaux du Grand Journal, demanda le collaborateur judiciaire, lui jeta sa carte au visage, et s’éloigna rapidement. Sur la carte, ces mots étaient inscrits : « Mark Karpelès tient toujours ses promesses. »

pylb posted:

L’évasion prochaine de Mark Karpelès ne fit plus de doute pour personne. Lui-même d’ailleurs l’annonçait en termes catégoriques. Et comme le juge revenait à son instruction, il s’écria d’un air de lassitude :

— Mon Dieu, mon Dieu, à quoi bon ! toutes ces questions n’ont aucune importance !

— Comment, aucune importance ?

— Mais non, puisque je n’assisterai pas à mon procès.

— Vous n’assisterez pas...

— Non, c’est une idée fixe, une décision irrévocable. Rien ne me fera transiger.

Une telle assurance, les indiscrétions inexplicables qui se commettaient chaque jour, agaçaient et déconcertaient la justice. Il y avait là des secrets que Mark Karpelès était seul à connaître, et dont la divulgation par conséquent ne pouvait provenir que de lui. Mais dans quel but les dévoilait-il ? et comment ?

On changea Mark Karpelès de cellule. Un soir, il descendit à l’étage inférieur. De son côté, le juge boucla son instruction et renvoya l’affaire à la chambre des mises en accusation.

Ce fut le silence. Il dura deux mois. Mark les passa étendu sur son lit, le visage presque toujours tourné contre le mur. Ce changement de cellule semblait l’avoir abattu. Il refusa de recevoir son avocat. À peine échangeait-il quelques mots avec ses gardiens.

La curiosité publique cependant ne s’était pas affaiblie. Chaque jour on avait attendu la nouvelle de son évasion. On la souhaitait presque, tellement le personnage plaisait à la foule avec sa verve, sa gaieté, sa diversité, son génie d’invention et le mystère de sa vie. Mark Karpelès devait s’évader. C’était inévitable, fatal. On s’étonnait même que cela tardât si longtemps. Tous les matins le Préfet de police demandait à son secrétaire :

— Eh bien, il n’est pas encore parti ?

— Non, Monsieur le Préfet.

— Ce sera donc pour demain.

Et, la veille du procès, un monsieur se présenta dans les bureaux du Grand Journal, demanda le collaborateur judiciaire, lui jeta sa carte au visage, et s’éloigna rapidement. Sur la carte, ces mots étaient inscrits : « Mark Karpelès tient toujours ses promesses. »

pylb posted:

L’évasion prochaine de Mark Karpelès ne fit plus de doute pour personne. Lui-même d’ailleurs l’annonçait en termes catégoriques. Et comme le juge revenait à son instruction, il s’écria d’un air de lassitude :

quote:

Re: CoinWallet.eu Stress Test Cancelled + Bitcoin Giveaway
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